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Homélie du 4ème dimanche de Pâques – Père Charles Rochas – 30 avril 2023

Homélie du 4ème dimanche de Pâques – Père Charles Rochas – 30 avril 2023

« Je suis le bon Pasteur, dit le Seigneur ;je connais mes brebis et mes brebis me connaissent. »

LECTURES DE LA MESSE

PREMIERE LECTURE

Lecture du livre des Actes des Apôtres
(Ac 2, 14a.36-41)

Le jour de la Pentecôte,
Pierre, debout avec les onze autres Apôtres,
éleva la voix et fit cette déclaration :
« Que toute la maison d’Israël le sache donc avec certitude :
Dieu l’a fait Seigneur et Christ,
ce Jésus que vous aviez crucifié. »
Les auditeurs furent touchés au cœur ;
ils dirent à Pierre et aux autres Apôtres :
« Frères, que devons-nous faire ? »
Pierre leur répondit :
« Convertissez-vous,
et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ
pour le pardon de ses péchés ;
vous recevrez alors le don du Saint-Esprit.

Car la promesse est pour vous,
pour vos enfants
et pour tous ceux qui sont loin,
aussi nombreux que le Seigneur notre Dieu les appellera. »
Par bien d’autres paroles encore,
Pierre les adjurait et les exhortait en disant :
« Détournez-vous de cette génération tortueuse,
et vous serez sauvés. »

Alors, ceux qui avaient accueilli la parole de Pierre
furent baptisés.
Ce jour-là, environ trois mille personnes
se joignirent à eux.

PSAUME

(Ps 22 (23), 1-2ab, 2c-3, 4, 5, 6)

R/ Le Seigneur est mon berger :
rien ne saurait me manquer.

Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.

Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.

Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.

DEUXIÈME LECTURE

Lecture de la première lettre de saint Pierre apôtre
(1 P 2, 20b-25)

Bien-aimés,
si vous supportez la souffrance pour avoir fait le bien,
c’est une grâce aux yeux de Dieu.
C’est bien à cela que vous avez été appelés,
car c’est pour vous que le Christ,
lui aussi, a souffert ;
il vous a laissé un modèle
afin que vous suiviez ses traces.
Lui n’a pas commis de péché ;
dans sa bouche,
on n’a pas trouvé de mensonge.
Insulté, il ne rendait pas l’insulte,
dans la souffrance, il ne menaçait pas,
mais il s’abandonnait
à Celui qui juge avec justice.
Lui-même a porté nos péchés,
dans son corps, sur le bois,
afin que, morts à nos péchés,
nous vivions pour la justice.
Par ses blessures, nous sommes guéris.
Car vous étiez errants
comme des brebis ;
mais à présent vous êtes retournés
vers votre berger, le gardien de vos âmes.

ÉVANGILE

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
(Jn 10, 1-10)

En ce temps-là, Jésus déclara :
« Amen, amen, je vous le dis :
celui qui entre dans l’enclos des brebis
sans passer par la porte,
mais qui escalade par un autre endroit,
celui-là est un voleur et un bandit.
Celui qui entre par la porte,
c’est le pasteur, le berger des brebis.
Le portier lui ouvre,
et les brebis écoutent sa voix.
Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom,
et il les fait sortir.
Quand il a poussé dehors toutes les siennes,
il marche à leur tête,
et les brebis le suivent,
car elles connaissent sa voix.
Jamais elles ne suivront un étranger,
mais elles s’enfuiront loin de lui,
car elles ne connaissent pas la voix des étrangers. »

Jésus employa cette image pour s’adresser aux pharisiens,
mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait.
C’est pourquoi Jésus reprit la parole :
« Amen, amen, je vous le dis :
Moi, je suis la porte des brebis.
Tous ceux qui sont venus avant moi
sont des voleurs et des bandits ;
mais les brebis ne les ont pas écoutés.
Moi, je suis la porte.
Si quelqu’un entre en passant par moi,
il sera sauvé ;
il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage.
Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr.
Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie,
la vie en abondance. »

Homélies du Triduum Pascal 2023

Homélies du Triduum Pascal 2023

« Après la longue veille dans l’obscurité de la Vigile pascale, l’Alléluia de la résurrection retentit de nouveau.
Le feu de l’amour de Dieu illumine la nuit : le Christ a vaincu la mort, et nous avec lui.
. »

Chemin de Croix – Vendredi Saint 7 avril

Homélie du Jeudi Saint – 6 avril 2023
Père Luc-Emmanuel Dupont

Je vous donne un commandement nouveau, dit le Seigneur :
« Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. »

Homélie du Vendredi Saint – 7 avril 2023
Père Dominique de Lafforest

Pour nous, le Christ est devenu obéissant, jusqu’à la mort,
et la mort de la croix.

C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom
qui est au-dessus de tout nom.

Homélie de la Vigile Pascale – 8 avril 2023
Père Charles Rochas

Il est ressuscité et il vous précède en Galilée !

Homélie du dimanche de Pâques – 9 avril 2023
Père Dominique de Lafforest

Notre Pâque immolée, c’est le Christ !
Célébrons la Fête dans le Seigneur !

Messages de Pâques et de l’octave

Messages de Pâques et de l’octave

Christ est ressuscité ! Il est vraiment ressuscité !

Après la longue veille dans l’obscurité de la Vigile pascale, l’Alléluia de la résurrection retentit de nouveau. Le feu de l’amour de Dieu illumine la nuit : le Christ a vaincu la mort, et nous avec lui. Christ est ressuscité ! Il est vraiment ressuscité !

« Accélérons le rythme de l’espérance » – Message Urbi et Orbi du pape François

Chers frères et sœurs, le Christ est ressuscité !

Aujourd’hui, nous proclamons que Lui, le Seigneur de notre vie, est « la résurrection et la vie » du monde (cf. Jn 11, 25). Il s’agit de Pâques, qui signifie “passage”, car en Jésus s’est accompli le passage décisif de l’humanité : celui de la mort à la vie, du péché à la grâce, de la peur à la confiance, de la désolation à la communion. En Lui, Seigneur du temps et de l’histoire, je voudrais dire à chacun, avec la joie dans le cœur : bonne Pâques !

Retrouvez la catéchèse de Mgr Olivier de Germay pour le temps pascal.

Homélie du 4ème dimanche de Pâques – Père Charles Rochas – 30 avril 2023

Homélie du dimanche des Rameaux – Père Charles Rochas – 2 avril 2023

« Pour nous, le Christ est devenu obéissant,
jusqu’à la mort, et la mort de la croix.
C’est pourquoi Dieu l’a exalté :
il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom. »

LECTURES DE LA MESSE

ENTRÉE MESSIANIQUE

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu
(Mt 21, 1-11)

Jésus et ses disciples, approchant de Jérusalem,
arrivèrent en vue de Bethphagé,
sur les pentes du mont des Oliviers.
Alors Jésus envoya deux disciples
en leur disant :
« Allez au village qui est en face de vous ;
vous trouverez aussitôt une ânesse attachée
et son petit avec elle.
Détachez-les et amenez-les moi.
Et si l’on vous dit quelque chose,
vous répondrez :
‘Le Seigneur en a besoin’.
Et aussitôt on les laissera partir. »
Cela est arrivé pour que soit accomplie la parole prononcée par le prophète :
Dites à la fille de Sion :
Voici ton roi qui vient vers toi,
plein de douceur,
monté sur une ânesse et un petit âne,
le petit d’une bête de somme.

Les disciples partirent
et firent ce que Jésus leur avait ordonné.
Ils amenèrent l’ânesse et son petit,
disposèrent sur eux leurs manteaux,
et Jésus s’assit dessus.
Dans la foule, la plupart étendirent leurs manteaux sur le chemin ;
d’autres coupaient des branches aux arbres
et en jonchaient la route.
Les foules qui marchaient devant Jésus et celles qui suivaient
criaient :
« Hosanna au fils de David !
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !
Hosanna au plus haut des cieux ! »
Comme Jésus entrait à Jérusalem,
toute la ville fut en proie à l’agitation,
et disait :
« Qui est cet homme ? »
Et les foules répondaient :
« C’est le prophète Jésus,
de Nazareth en Galilée. »

PREMIÈRE LECTURE

Lecture du livre du prophète Isaïe
(Is 50, 4-7)

Le Seigneur mon Dieu m’a donné le langage des disciples,
pour que je puisse, d’une parole,
soutenir celui qui est épuisé.
Chaque matin, il éveille,
il éveille mon oreille
pour qu’en disciple, j’écoute.
Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille,
et moi, je ne me suis pas révolté,
je ne me suis pas dérobé.
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient,
et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe.
Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ;
c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages,
c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre :
je sais que je ne serai pas confondu.

PSAUME

(Ps 21 (22), 8-9, 17-18a, 19-20, 22c-24a)

R/ Mon Dieu, mon Dieu,
pourquoi m’as-tu abandonné ?

Tous ceux qui me voient me bafouent,
ils ricanent et hochent la tête :
« Il comptait sur le Seigneur : qu’il le délivre !
Qu’il le sauve, puisqu’il est son ami ! »

Oui, des chiens me cernent,
une bande de vauriens m’entoure.
Ils me percent les mains et les pieds ;
je peux compter tous mes os.

Ils partagent entre eux mes habits
et tirent au sort mon vêtement.
Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
ô ma force, viens vite à mon aide !

Tu m’as répondu !
Et je proclame ton nom devant mes frères,
je te loue en pleine assemblée.
Vous qui le craignez, louez le Seigneur.

DEUXIÈME LECTURE

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Philippiens
(Ph 2, 6-11)

Le Christ Jésus,
ayant la condition de Dieu,
ne retint pas jalousement
le rang qui l’égalait à Dieu.

Mais il s’est anéanti,
prenant la condition de serviteur,
devenant semblable aux hommes.

Reconnu homme à son aspect,
il s’est abaissé,
devenant obéissant jusqu’à la mort,
et la mort de la croix.

C’est pourquoi Dieu l’a exalté :
il l’a doté du Nom
qui est au-dessus de tout nom,

afin qu’au nom de Jésus
tout genou fléchisse
au ciel, sur terre et aux enfers,

et que toute langue proclame :
« Jésus Christ est Seigneur »
à la gloire de Dieu le Père.

ÉVANGILE

Passion de notre Seigneur Jésus Christ selon saint Matthieu
(Mt 26, 14 – 27, 66)

Les sigles désignant les divers interlocuteurs sont les suivants :
X = Jésus ; L = Lecteur ; D = Disciples et amis ; F = Foule ; A = Autres personnages.

L. En ce temps-là,
l’un des Douze, nommé Judas Iscariote,
se rendit chez les grands prêtres
et leur dit :
D. « Que voulez-vous me donner,
si je vous le livre ? »

L. Ils lui remirent trente pièces d’argent.
Et depuis, Judas cherchait une occasion favorable
pour le livrer.
Le premier jour de la fête des pains sans levain,
les disciples s’approchèrent et dirent à Jésus :
D. « Où veux-tu que nous te fassions les préparatifs
pour manger la Pâque ? »
L. Il leur dit :
X. « Allez à la ville, chez un tel,
et dites-lui :
‘Le Maître te fait dire :
Mon temps est proche ;
c’est chez toi que je veux célébrer la Pâque
avec mes disciples.’ »
L. Les disciples firent ce que Jésus leur avait prescrit
et ils préparèrent la Pâque.

Le soir venu,
Jésus se trouvait à table avec les Douze.
Pendant le repas, il déclara :
X. « Amen, je vous le dis :
l’un de vous va me livrer. »
L. Profondément attristés,
ils se mirent à lui demander, chacun son tour :
D. « Serait-ce moi, Seigneur ? »
L. Prenant la parole, il dit :
X. « Celui qui s’est servi au plat en même temps que moi,
celui-là va me livrer.
Le Fils de l’homme s’en va,
comme il est écrit à son sujet ;
mais malheureux celui par qui le Fils de l’homme est livré !
Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ! »
L. Judas, celui qui le livrait,
prit la parole :
D. « Rabbi, serait-ce moi ? »
L. Jésus lui répond :
X. « C’est toi-même qui l’as dit ! »

L. Pendant le repas,
Jésus, ayant pris du pain
et prononcé la bénédiction,
le rompit et, le donnant aux disciples, il dit :
X. « Prenez, mangez :
ceci est mon corps. »
L. Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce,
il la leur donna, en disant :
X. « Buvez-en tous,
car ceci est mon sang,
le sang de l’Alliance,
versé pour la multitude
en rémission des péchés.
Je vous le dis :
désormais je ne boirai plus de ce fruit de la vigne,
jusqu’au jour où je le boirai, nouveau, avec vous
dans le royaume de mon Père. »

L. Après avoir chanté les psaumes,
ils partirent pour le mont des Oliviers.
Alors Jésus leur dit :
X. « Cette nuit,
je serai pour vous tous une occasion de chute ;
car il est écrit :
Je frapperai le berger,
et les brebis du troupeau seront dispersées.

Mais, une fois ressuscité,
je vous précéderai en Galilée. »
L. Prenant la parole, Pierre lui dit :
D. « Si tous viennent à tomber à cause de toi,
moi, je ne tomberai jamais. »
L. Jésus lui répondit :
X. « Amen, je te le dis :
cette nuit même, avant que le coq chante,
tu m’auras renié trois fois. »
L. Pierre lui dit :
D. « Même si je dois mourir avec toi,
je ne te renierai pas. »
L. Et tous les disciples dirent de même.

Alors Jésus parvient avec eux
à un domaine appelé Gethsémani
et leur dit :
X. « Asseyez-vous ici,
pendant que je vais là-bas pour prier. »
L. Il emmena Pierre,
ainsi que Jacques et Jean, les deux fils de Zébédée,
et il commença à ressentir tristesse et angoisse.
Il leur dit alors :
X. « Mon âme est triste à en mourir.
Restez ici et veillez avec moi. »
L. Allant un peu plus loin,
il tomba face contre terre en priant,
et il disait :
X. « Mon Père,
s’il est possible,
que cette coupe passe loin de moi !
Cependant, non pas comme moi, je veux,
mais comme toi, tu veux. »
L. Puis il revient vers ses disciples
et les trouve endormis ;
il dit à Pierre :
X. « Ainsi, vous n’avez pas eu la force
de veiller seulement une heure avec moi ?
Veillez et priez,
pour ne pas entrer en tentation ;
l’esprit est ardent,
mais la chair est faible. »
L. De nouveau, il s’éloigna et pria, pour la deuxième fois ; il disait :
X. « Mon Père,
si cette coupe ne peut passer
sans que je la boive,
que ta volonté soit faite ! »
L. Revenu près des disciples,
de nouveau il les trouva endormis,
car leurs yeux étaient lourds de sommeil.
Les laissant, de nouveau il s’éloigna
et pria pour la troisième fois,
en répétant les mêmes paroles.
Alors il revient vers les disciples et leur dit :
X. « Désormais, vous pouvez dormir et vous reposer.
Voici qu’elle est proche, l’heure
où le Fils de l’homme est livré aux mains des pécheurs.
Levez-vous ! Allons !
Voici qu’il est proche, celui qui me livre. »

L. Jésus parlait encore,
lorsque Judas, l’un des Douze, arriva,
et avec lui une grande foule
armée d’épées et de bâtons,
envoyée par les grands prêtres et les anciens du peuple.
Celui qui le livrait leur avait donné un signe :
D. « Celui que j’embrasserai, c’est lui :
arrêtez-le. »
L. Aussitôt, s’approchant de Jésus, il lui dit :
D. « Salut, Rabbi ! »
L. Et il l’embrassa.
Jésus lui dit :
X. « Mon ami, ce que tu es venu faire, fais-le ! »
L. Alors ils s’approchèrent,
mirent la main sur Jésus et l’arrêtèrent.
L’un de ceux qui étaient avec Jésus,
portant la main à son épée,
la tira, frappa le serviteur du grand prêtre,
et lui trancha l’oreille.
Alors Jésus lui dit :
X. « Rentre ton épée,
car tous ceux qui prennent l’épée
périront par l’épée.
Crois-tu que je ne puisse pas faire appel à mon Père ?
Il mettrait aussitôt à ma disposition
plus de douze légions d’anges.
Mais alors, comment s’accompliraient les Écritures
selon lesquelles il faut qu’il en soit ainsi ? »
L. À ce moment-là, Jésus dit aux foules :
X. « Suis-je donc un bandit,
pour que vous soyez venus vous saisir de moi,
avec des épées et des bâtons ?
Chaque jour, dans le Temple, j’étais assis
en train d’enseigner,
et vous ne m’avez pas arrêté. »
L. Mais tout cela est arrivé
pour que s’accomplissent les écrits des prophètes.
Alors tous les disciples l’abandonnèrent
et s’enfuirent.

Ceux qui avaient arrêté Jésus
l’amenèrent devant Caïphe, le grand prêtre,
chez qui s’étaient réunis les scribes et les anciens.
Quant à Pierre, il le suivait à distance,
jusqu’au palais du grand prêtre ;
il entra dans la cour et s’assit avec les serviteurs
pour voir comment cela finirait.
Les grands prêtres et tout le Conseil suprême
cherchaient un faux témoignage contre Jésus
pour le faire mettre à mort.
Ils n’en trouvèrent pas ;
pourtant beaucoup de faux témoins s’étaient présentés.
Finalement il s’en présenta deux,
qui déclarèrent :
A. « Celui-là a dit :
‘Je peux détruire le Sanctuaire de Dieu
et, en trois jours, le rebâtir.’ »
L. Alors le grand prêtre se leva et lui dit :
A. « Tu ne réponds rien ?
Que dis-tu des témoignages qu’ils portent contre toi ? »
L. Mais Jésus gardait le silence.
Le grand prêtre lui dit :
A. « Je t’adjure, par le Dieu vivant,
de nous dire si c’est toi qui es le Christ,
le Fils de Dieu. »
L. Jésus lui répond :
X. « C’est toi-même qui l’as dit !
En tout cas, je vous le déclare :
désormais vous verrez le Fils de l’homme
siéger à la droite du Tout-Puissant
et venir sur les nuées du ciel. »
L. Alors le grand prêtre déchira ses vêtements, en disant :
A. « Il a blasphémé !
Pourquoi nous faut-il encore des témoins ?
Vous venez d’entendre le blasphème !
Quel est votre avis ? »
L. Ils répondirent :
F. « Il mérite la mort. »
L. Alors ils lui crachèrent au visage
et le giflèrent ;
d’autres le rouèrent de coups
en disant :
F. « Fais-nous le prophète, ô Christ !
Qui t’a frappé ? »

L. Cependant Pierre était assis
dehors dans la cour.
Une jeune servante s’approcha de lui et lui dit :
A. « Toi aussi, tu étais avec Jésus, le Galiléen ! »
L. Mais il le nia devant tout le monde et dit :
D. « Je ne sais pas de quoi tu parles. »
L. Une autre servante le vit sortir en direction du portail
et elle dit à ceux qui étaient là :
A. « Celui-ci était avec Jésus, le Nazaréen. »
L. De nouveau, Pierre le nia en faisant ce serment :
D. « Je ne connais pas cet homme. »
L. Peu après, ceux qui se tenaient là
s’approchèrent et dirent à Pierre :
A. « Sûrement, toi aussi, tu es l’un d’entre eux !
D’ailleurs, ta façon de parler te trahit. »
L. Alors, il se mit à protester violemment et à jurer :
D. « Je ne connais pas cet homme. »
L. Et aussitôt un coq chanta.
Alors Pierre se souvint de la parole que Jésus lui avait dite :
« Avant que le coq chante,
tu m’auras renié trois fois. »
Il sortit et, dehors, pleura amèrement.

Le matin venu,
tous les grands prêtres et les anciens du peuple
tinrent conseil contre Jésus
pour le faire mettre à mort.
Après l’avoir ligoté,
ils l’emmenèrent et le livrèrent à Pilate, le gouverneur.

Alors, en voyant que Jésus était condamné,
Judas, qui l’avait livré, fut pris de remords ;
il rendit les trente pièces d’argent
aux grands prêtres et aux anciens.
Il leur dit :
D. « J’ai péché en livrant à la mort un innocent. »
L. Ils répliquèrent :
A. « Que nous importe ?
Cela te regarde ! »
L. Jetant alors les pièces d’argent dans le Temple,
il se retira et alla se pendre.
Les grands prêtres ramassèrent l’argent et dirent :
A. « Il n’est pas permis de le verser dans le trésor,
puisque c’est le prix du sang. »
L. Après avoir tenu conseil,
ils achetèrent avec cette somme le champ du potier
pour y enterrer les étrangers.
Voilà pourquoi ce champ est appelé jusqu’à ce jour
le Champ-du-Sang.
Alors fut accomplie la parole prononcée par le prophète Jérémie :
Ils ramassèrent les trente pièces d’argent,
le prix de celui qui fut mis à prix,
le prix fixé par les fils d’Israël,
et ils les donnèrent pour le champ du potier,
comme le Seigneur me l’avait ordonné.

L. On fit comparaître Jésus devant Pilate, le gouverneur,
qui l’interrogea :
A. « Es-tu le roi des Juifs ? »
L. Jésus déclara :
X. « C’est toi-même qui le dis. »
L. Mais, tandis que les grands prêtres et les anciens l’accusaient,
il ne répondit rien.
Alors Pilate lui dit :
A. « Tu n’entends pas tous les témoignages portés contre toi ? »
L. Mais Jésus ne lui répondit plus un mot,
si bien que le gouverneur fut très étonné.
Or, à chaque fête, celui-ci avait coutume de relâcher un prisonnier,
celui que la foule demandait.
Il y avait alors un prisonnier bien connu, nommé Barabbas.
Les foules s’étant donc rassemblées,
Pilate leur dit :
A. « Qui voulez-vous que je vous relâche :
Barabbas ? ou Jésus, appelé le Christ ? »
L. Il savait en effet que c’était par jalousie qu’on avait livré Jésus.
Tandis qu’il siégeait au tribunal,
sa femme lui fit dire :
A. « Ne te mêle pas de l’affaire de ce juste,
car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de lui. »
L. Les grands prêtres et les anciens poussèrent les foules
à réclamer Barabbas
et à faire périr Jésus.
Le gouverneur reprit :
A. « Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? »
L. Ils répondirent :
F. « Barabbas ! »
L. Pilate leur dit :
A. « Que ferai-je donc de Jésus
appelé le Christ ? »
L. Ils répondirent tous :
F. « Qu’il soit crucifié ! »
L. Pilate demanda :
A. « Quel mal a-t-il donc fait ? »
L. Ils criaient encore plus fort :
F. « Qu’il soit crucifié ! »
L. Pilate, voyant que ses efforts ne servaient à rien,
sinon à augmenter le tumulte,
prit de l’eau et se lava les mains devant la foule,
en disant :
A. « Je suis innocent du sang de cet homme :
cela vous regarde ! »
L. Tout le peuple répondit :
F. « Son sang, qu’il soit sur nous et sur nos enfants ! »
L. Alors, il leur relâcha Barabbas ;
quant à Jésus, il le fit flageller,
et il le livra pour qu’il soit crucifié.
Alors les soldats du gouverneur emmenèrent Jésus dans la salle du Prétoire
et rassemblèrent autour de lui toute la garde.
Ils lui enlevèrent ses vêtements
et le couvrirent d’un manteau rouge.
Puis, avec des épines, ils tressèrent une couronne,
et la posèrent sur sa tête ;
ils lui mirent un roseau dans la main droite
et, pour se moquer de lui, ils s’agenouillaient devant lui en disant :
F. « Salut, roi des Juifs ! »
L. Et, après avoir craché sur lui, ils prirent le roseau,
et ils le frappaient à la tête.
Quand ils se furent bien moqués de lui,
ils lui enlevèrent le manteau,
lui remirent ses vêtements,
et l’emmenèrent pour le crucifier.

En sortant, ils trouvèrent un nommé Simon, originaire de Cyrène,
et ils le réquisitionnèrent pour porter la croix de Jésus.
Arrivés en un lieu dit Golgotha,
c’est-à-dire : Lieu-du-Crâne (ou Calvaire),
ils donnèrent à boire à Jésus du vin mêlé de fiel ;
il en goûta, mais ne voulut pas boire.
Après l’avoir crucifié,
ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort ;
et ils restaient là, assis, à le garder.
Au-dessus de sa tête
ils placèrent une inscription indiquant le motif de sa condamnation :
« Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
Alors on crucifia avec lui deux bandits,
l’un à droite et l’autre à gauche.

Les passants l’injuriaient en hochant la tête ;
ils disaient :
F. « Toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours,
sauve-toi toi-même, si tu es Fils de Dieu,
et descends de la croix ! »
L. De même, les grands prêtres se moquaient de lui
avec les scribes et les anciens, en disant :
A. « Il en a sauvé d’autres,
et il ne peut pas se sauver lui-même !
Il est roi d’Israël :
qu’il descende maintenant de la croix,
et nous croirons en lui !
Il a mis sa confiance en Dieu.
Que Dieu le délivre maintenant,
s’il l’aime !
Car il a dit :
‘Je suis Fils de Dieu.’ »
L. Les bandits crucifiés avec lui l’insultaient de la même manière.

À partir de la sixième heure (c’est-à-dire : midi),
l’obscurité se fit sur toute la terre
jusqu’à la neuvième heure.
Vers la neuvième heure,
Jésus cria d’une voix forte :
X. « Éli, Éli, lema sabactani ? »,
L. ce qui veut dire :
X. « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
L. L’ayant entendu,
quelques-uns de ceux qui étaient là disaient :
F. « Le voilà qui appelle le prophète Élie ! »
L. Aussitôt l’un d’eux courut prendre une éponge
qu’il trempa dans une boisson vinaigrée ;
il la mit au bout d’un roseau,
et il lui donnait à boire.
Les autres disaient :
F. « Attends !
Nous verrons bien si Élie vient le sauver. »
L. Mais Jésus, poussant de nouveau un grand cri,
rendit l’esprit

(Ici on fléchit le genou et on s’arrête un instant)

Et voici que le rideau du Sanctuaire se déchira en deux,
depuis le haut jusqu’en bas ;
la terre trembla et les rochers se fendirent.
Les tombeaux s’ouvrirent ;
les corps de nombreux saints qui étaient morts ressuscitèrent,
et, sortant des tombeaux après la résurrection de Jésus,
ils entrèrent dans la Ville sainte,
et se montrèrent à un grand nombre de gens.
À la vue du tremblement de terre et de ces événements,
le centurion et ceux qui, avec lui, gardaient Jésus,
furent saisis d’une grande crainte et dirent :
A. « Vraiment, celui-ci était Fils de Dieu ! »

L. Il y avait là de nombreuses femmes qui observaient de loin.
Elles avaient suivi Jésus depuis la Galilée pour le servir.
Parmi elles se trouvaient Marie Madeleine,
Marie, mère de Jacques et de Joseph,
et la mère des fils de Zébédée.

Comme il se faisait tard, arriva un homme riche, originaire d’Arimathie,
qui s’appelait Joseph,
et qui était devenu, lui aussi, disciple de Jésus.
Il alla trouver Pilate pour demander le corps de Jésus.
Alors Pilate ordonna qu’on le lui remette.
Prenant le corps,
Joseph l’enveloppa dans un linceul immaculé,
et le déposa dans le tombeau neuf
qu’il s’était fait creuser dans le roc.
Puis il roula une grande pierre à l’entrée du tombeau
et s’en alla.
Or Marie Madeleine et l’autre Marie étaient là,
assises en face du sépulcre.

Le lendemain, après le jour de la Préparation,
les grands prêtres et les pharisiens
s’assemblèrent chez Pilate,
en disant :
A. « Seigneur, nous nous sommes rappelé
que cet imposteur a dit, de son vivant :
‘Trois jours après, je ressusciterai.’
Alors, donne l’ordre que le sépulcre soit surveillé
jusqu’au troisième jour,
de peur que ses disciples ne viennent voler le corps
et ne disent au peuple :
‘Il est ressuscité d’entre les morts.’
Cette dernière imposture serait pire que la première. »
L. Pilate leur déclara :
A. « Vous avez une garde.
Allez, organisez la surveillance comme vous l’entendez ! »

L. Ils partirent donc
et assurèrent la surveillance du sépulcre
en mettant les scellés sur la pierre et en y plaçant la garde.

– Acclamons la Parole de Dieu.

OU LECTURE BREVE

ÉVANGILE

Passion de notre Seigneur Jésus Christ selon saint Matthieu (Mt 27, 11-54)

La Passion de notre Seigneur Jésus Christ selon saint Matthieu

Les sigles désignant les divers interlocuteurs sont les suivants :
X. = Jésus ; L = Lecteur ; D = Disciples et amis ; F = Foule ; A = Autres personnages.

L. On fit comparaître Jésus devant Pilate, le gouverneur,
qui l’interrogea :
A. « Es-tu le roi des Juifs ? »
L. Jésus déclara :
X. « C’est toi-même qui le dis. »
L. Mais, tandis que les grands prêtres et les anciens l’accusaient,
il ne répondit rien.
Alors Pilate lui dit :
A. « Tu n’entends pas tous les témoignages portés contre toi ? »
L. Mais Jésus ne lui répondit plus un mot,
si bien que le gouverneur fut très étonné.
Or, à chaque fête, celui-ci avait coutume de relâcher un prisonnier,
celui que la foule demandait.
Il y avait alors un prisonnier bien connu, nommé Barabbas.
Les foules s’étant donc rassemblées,
Pilate leur dit :
A. « Qui voulez-vous que je vous relâche :
Barabbas ? ou Jésus, appelé le Christ ? »
L. Il savait en effet que c’était par jalousie qu’on avait livré Jésus.
Tandis qu’il siégeait au tribunal,
sa femme lui fit dire :
A. « Ne te mêle pas de l’affaire de ce juste,
car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de lui. »
L. Les grands prêtres et les anciens poussèrent les foules
à réclamer Barabbas
et à faire périr Jésus.
Le gouverneur reprit :
A. « Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? »
L. Ils répondirent :
F. « Barabbas ! »
L. Pilate leur dit :
A. « Que ferai-je donc de Jésus
appelé le Christ ? »
L. Ils répondirent tous :
F. « Qu’il soit crucifié ! »
L. Pilate demanda :
A. « Quel mal a-t-il donc fait ? »
L. Ils criaient encore plus fort :
F. « Qu’il soit crucifié ! »
L. Pilate, voyant que ses efforts ne servaient à rien,
sinon à augmenter le tumulte,
prit de l’eau et se lava les mains devant la foule,
en disant :
A. « Je suis innocent du sang de cet homme :
cela vous regarde ! »
L. Tout le peuple répondit :
F. « Son sang, qu’il soit sur nous et sur nos enfants ! »
L. Alors, il leur relâcha Barabbas ;
quant à Jésus, il le fit flageller,
et il le livra pour qu’il soit crucifié.

Alors les soldats du gouverneur emmenèrent Jésus dans la salle du Prétoire
et rassemblèrent autour de lui toute la garde.
Ils lui enlevèrent ses vêtements
et le couvrirent d’un manteau rouge.
Puis, avec des épines, ils tressèrent une couronne,
et la posèrent sur sa tête ;
ils lui mirent un roseau dans la main droite
et, pour se moquer de lui, ils s’agenouillaient devant lui en disant :
F. « Salut, roi des Juifs ! »
L. Et, après avoir craché sur lui, ils prirent le roseau,
et ils le frappaient à la tête.
Quand ils se furent bien moqués de lui,
ils lui enlevèrent le manteau,
lui remirent ses vêtements,
et l’emmenèrent pour le crucifier.

En sortant, ils trouvèrent un nommé Simon, originaire de Cyrène,
et ils le réquisitionnèrent pour porter la croix de Jésus.
Arrivés en un lieu dit Golgotha,
c’est-à-dire : Lieu-du-Crâne (ou Calvaire),
ils donnèrent à boire à Jésus du vin mêlé de fiel ;
il en goûta, mais ne voulut pas boire.
Après l’avoir crucifié,
ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort ;
et ils restaient là, assis, à le garder.
Au-dessus de sa tête
ils placèrent une inscription indiquant le motif de sa condamnation :
« Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
Alors on crucifia avec lui deux bandits,
l’un à droite et l’autre à gauche.
Les passants l’injuriaient en hochant la tête ;
ils disaient :
F. « Toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours,
sauve-toi toi-même, si tu es Fils de Dieu,
et descends de la croix ! »
L. De même, les grands prêtres se moquaient de lui
avec les scribes et les anciens, en disant :
A. « Il en a sauvé d’autres,
et il ne peut pas se sauver lui-même !
Il est roi d’Israël :
qu’il descende maintenant de la croix,
et nous croirons en lui !
Il a mis sa confiance en Dieu.
Que Dieu le délivre maintenant,
s’il l’aime !
Car il a dit :
‘Je suis Fils de Dieu.’ »
L. Les bandits crucifiés avec lui l’insultaient de la même manière.

À partir de la sixième heure (c’est-à-dire : midi),
l’obscurité se fit sur toute la terre
jusqu’à la neuvième heure.
Vers la neuvième heure,
Jésus cria d’une voix forte :
X. « Éli, Éli, lema sabactani ? »,
L. ce qui veut dire :
X. « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
L. L’ayant entendu,
quelques-uns de ceux qui étaient là disaient :
F. « Le voilà qui appelle le prophète Élie ! »
L. Aussitôt l’un d’eux courut prendre une éponge
qu’il trempa dans une boisson vinaigrée ;
il la mit au bout d’un roseau,
et il lui donnait à boire.
Les autres disaient :
F. « Attends !
Nous verrons bien si Élie vient le sauver. »
L. Mais Jésus, poussant de nouveau un grand cri,
rendit l’esprit.

(Ici on fléchit le genou et on s’arrête un instant)

Et voici que le rideau du Sanctuaire se déchira en deux,
depuis le haut jusqu’en bas ;
la terre trembla et les rochers se fendirent.
Les tombeaux s’ouvrirent ;
les corps de nombreux saints qui étaient morts ressuscitèrent,
et, sortant des tombeaux après la résurrection de Jésus,
ils entrèrent dans la Ville sainte,
et se montrèrent à un grand nombre de gens.
À la vue du tremblement de terre et de ces événements,
le centurion et ceux qui, avec lui, gardaient Jésus,
furent saisis d’une grande crainte et dirent :
A. « Vraiment, celui-ci était Fils de Dieu ! »

Semaine Sainte 2023

Semaine Sainte 2023

Mardi Saint – 4 avril
12h15 : Messe
17h – 19h : confessions (Père Dominique de Lafforest)
19h : Messe

Mercredi Saint – 5 avril
10h – 12h : confessions (Père Charles Rochas)
Pas de Messes à Saint-Nizier
18h30 : Messe à la Primatiale Saint-Jean (Bénédiction des huiles et renouvellement des promesses sacerdotales des prêtres du diocèse)

Jeudi Saint – 6 avril
7h30 : Office des ténèbres
10h – 12h : confessions (Père Charles Rochas)
16h – 17h30 : confessions (Père Charles Rochas + Père Luc-Emmanuel Dupont)
17h30 – 19h : confessions (Père Dominique de Lafforest)
19h : Messe de la Sainte Cène + Reposoir jusqu’à minuit.

Vendredi Saint – 7 avril
7h30 : Office des ténèbres
10h – 12h : confessions (Père Dominique de Lafforest)
12h15 – 13h30 : chemin de Croix dans les rues avec Mgr de Germay – Départ de Saint-Nizier
16h – 17h30 : confessions (Père Charles Rochas)
17h30 – 19h : confessions (Père Luc-Emmanuel Dupont)
19h : Office de la Passion

Samedi Saint – 8 avril
9h : Office des ténèbres (incluant les derniers rites pour les catéchumènes)
11h – 12h : confessions (Père Luc-Emmanuel Dupont)
14h30 – 16h30 : confessions (Père Luc-Emmanuel Dupont)
16h30 – 18h30 : confessions (Père Charles Rochas)
18h30 – 20h30 : confessions (Père Dominique de Lafforest)
21h : Vigile Pascale

Dimanche de Pâques – 9 avril
10h30 : Messe de la Résurrection