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Les Amis de Saint-Nizier

L’église Saint Nizier est un monument historique, considéré comme l’un des plus remarquables exemples de style « gothique flamboyant » dans notre région et même en France. Comme toutes les églises anciennes de notre ville, elle constitue un témoignage précieux et émouvant de la foi et du savoir-faire par les générations de lyonnais, attachés à leur religion et à leur cité.

C’est pour mettre en valeur cet inestimable patrimoine qu’une équipe de paroissiens, passionnés d’histoire et d’architecture, ont créé l’Association « Les Amis de Saint Nizier » en 1990 sous l’impulsion du Frère Jean Legrez, Curé de la Paroisse. L’Association a pour objectif, en étroite collaboration avec la Paroisse, de promouvoir toutes les mesures susceptibles de contribuer à la mise en valeur de l’église en tant que monument historique mais également en tant que lieu d’activités et de pratiques religieuses.

Le saviez-vous ?

Sainte Catherine d’Alexandrie

En 1408 Catherine de Montbrison, veuve de Jacob Barruchie, fonde la chapelle Ste Catherine.

La Légende Dorée fait naître Sainte Catherine en 305. Elle vit et étudie à Alexandrie. Son exceptionnelle intelligence lui permet d’étudier et d’assimiler les écrits des philosophes et des penseurs de son temps et de l’Antiquité. D’une rare beauté, sa vanité lui fait déclarer qu’elle n’épouserait qu’un jeune homme supérieur à elle, par la beauté, la culture et le rang social. Sa mère l’envoie consulter un saint ermite qui lui donne une icône de la Vierge, l’assurant qu’elle verrait bientôt Celui destiné à devenir son époux. La nuit suivante, la Mère de Dieu lui apparut avec son Fils, mais Celui-ci se détourna de Catherine, disant qu’elle n’était, ni belle, ni intelligente, ni de noble condition, car non régénérée par le baptême. Catherine se convertit alors au christianisme et dans une nouvelle vision, le Christ la regarda avec tendresse et lui donna un anneau, symbole de leur mariage mystique.

En 1313, lors d’un séjour à Alexandrie de l’Empereur Maximien, des jeux du cirque furent donnés. Catherine se présenta alors devant l’Empereur, se déclara chrétienne et lui démontra toutes les erreurs du paganisme. Maximien, séduit par sa beauté, organisa une controverse opposant la Sainte aux cinquante meilleurs philosophes de l’Empire, durant laquelle ses arguments l’emportèrent sur les rhéteurs qui se convertirent immédiatement au christianisme. Furieux, l’Empereur les condamna à être brûlés vifs.

Les personnages importants

qui ont marqué l’histoire de l’église saint Nizier.

BIENHEUREUSE
PAULINE JARICOT 
(1799-1862)

Déclarée Bienheureuse
par le Pape François
le 22 mai 2022.

Après s’être adonnée à une vie mondaine, connaît la conversion à l’église Saint-Nizier en 1816.

Est la fondatrice de l’Oeuvre pour la Propagation de la Foi et du Rosaire Vivant, toujours en cours au sein de l’Eglise catholique à travers le monde.
Se trouve enterrée dans l’église à côté de l’autel de Notre Dame de Grâce.

BIENHEUREUX
FREDERIC OZANAM
(1813-1853)

Béatifié en  1997
par le Pape Jean Paul II

Se marie à Lyon à l’église Saint-Nizier le 23 juin 1841.

Figure du catholicisme social du XIXe siècle, en France, il a le souci d’évangéliser en créant les conférences de Carême qui subsistent encore de nos jours

Il est à l’origine de la première œuvre entièrement confiée à des laïcs, connue aujourd’hui sous le nom de Société de Saint-Vincent de Paul développée en France, en Outre-Mer et dans le monde entier.

Louis QUERBES
(1793-1859)

Vicaire à Saint-Nizier (1816-1822)

Né à Lyon et ordination sacerdotale le 17 décembre 1816.

Fondateur de l’ordre religieux dit « Clercs de Saint Viateur » : congrégation chargée de l’enseignement et de l’éducation des jeunes (catéchisme et liturgie) et s’est développée en France et dans le monde entier.

Mort à Vourles le 1er septembre 1859

Suzanne AUBERT
(1835-1826)

Vénérable en 2016

Religieuse, inspirée par le Curé d’Ars et les Maristes de Lyon. Fondatrice des « Filles Notre Dame de la compassion » s’occupant des orphelins et des Maoris.

Elle devient missionnaire  en Nouvelle Zélande

Femme de foi.

André COINDRE
(1787-1826)

Ordonné prêtre
le 14 juin 1812

Né à Lyon et baptisé à Saint Nizier le 28 février 1787 – une plaque à son nom se trouve dans la chapelle du Baptistaire de Saint Nizier.

Fondateur de la Congrégation des frères du Sacré Cœur, congrégation destinée à l’instruction des jeunes

Il a fondé de nombreux collèges, lycées et instituts.

Claudine THEVENET (1774-1837)

Canonisée en 1993 par Jean Paul II

Née à Lyon et baptisée à Saint Nizier le 31 mars 1774 – une plaque à son nom se trouve dans la chapelle du Baptistaire de Saint Nizier

Fondatrice de la Congrégation religieuse de Jésus-Marie pour subvenir à l’éducation des enfants abandonnés et pour la formation chrétienne des jeunes, surtout des pauvres.

Aujourd’hui les religieuses de la congrégation de Jésus-Marie sont plus de 1 800, réparties dans 180 maisons, sur les cinq continents.

Une chapelle lui est dédiée à l’église Saint Nizier.

Paul COUTURIER
(1881-1953)

Ordonné prêtre
le 9 juin 1906

Né à Lyon, Il fait sa première communion à l’église Saint Nizier en juin 1893

Fondateur du groupe « œcuménique des Dombes ».

Promoteur de la semaine de l’unité chrétienne « demander l’unité que Dieu voudra, par les moyens qu’il voudra ».

Une chapelle porte son nom, rue Henri IV près de la place Carnot.

SAINT NIZIER  
(512-573)

Ordonné prêtre en 543
et Évêque de Lyon (552)

Sa vie nous est rapportée par Saint Grégoire de Tours, son neveu.

Il préside le concile des provinces de Lyon et de Vienne et parvient à mettre les clercs sous la seule juridiction ecclésiastique. Il se distingue par une grande sollicitude pour le chant  liturgique.

Il est enterré le 2 avril 573 selon la tradition, dans la Basilique des Saints Apôtres à Lyon qui, désormais, portera son nom. Son tombeau aurait été retrouvé dans la crypte avec les tombeaux de 10 autres évêques de Lyon, au cours des travaux de consolidation de la crypte.

Vénéré de son vivant, de nombreux miracles lui sont attribués après sa mort.

Architecture et spiritualité

Histoire  de l’église Saint Nizier de Lyon

l’art flamboyant

Brève histoire de l’église Saint-Nizier

Vous êtes dans une église dont le début de la construction remonte à 700 ans. Elle constitue l’un des  plus   beaux exemples  du  style gothique flamboyant en France. Son implantation date des années 150 après J.C. ,lors de l’arrivée des  premiers chrétiens, avec [saint Pothin] et [saint Irenée]  à Lyon qui s’appelait à l’époque  Lugdunum, capitale  des  Trois-Gaules dans le cadre de l’Empire Romain.

En 177, 48 chrétiens furent martyrisés, dont [sainte Blandine].
Selon une tradition vénérable, l’église actuelle se dresse sur l’emplacement du plus ancien sanctuaire lyonnais établi par saint Pothin sous forme d’un oratoire dédié à la Vierge Marie. Les cendres des 48 martyrs de Lyon furent placées dans sa crypte et vénérées jusqu’au VI° siècle.
L’existence d’une église est répertoriée à partir du V° siècle en tant que « Basilique des Saints-Apôtres », qui fut peut-être la première cathédrale de Lyon.
Au VI° siècle, plusieurs évêques y sont enterrés, en particulier [saint Ennemond], [saint Sacerdos]  et saintNizier, en 573, sur la tombe duquel se produisirentde très nombreux miracles. Depuis cette époque, l’église s’appelle définitivement Saint-Nizier.

Au VIII° siècle, l’évoque [Leidrade], ami de Charlemagne, fait restaurer l’église.
Au Xlll° siècle, Saint-Nizier, redevenue simple paroisse, est brûlée par les Vaudois.
Les édiles et les bourgeois de la ville de Lyon souhaitent avoir leur propre église dans la presqu’île (laprimatiale Saint-Jean est en cours d’achèvement sur l’autre rive de la Saône).

En 1306, l’archevêque de Lyon, [Louis de Villard], donne son accord et érige Saint-Nizier encollégiale : début des travaux de l’église actuelle en commençant par le chœur à l’Est comme le veut la tradition.
La construction a duré pratiquement 3 siècles :
– le chœur, le transept, la nef seront achevés en 1417, en style gothique
flamboyant.
– la tour nord, de style gothique également, sera  achevée en 1481.
– le portail de style renaissance, sera achevé en 1585.

En 1562, pendant les guerres de religions, l’église est très endommagée et pillée par les troupes huguenotes du [Baron des Adrets]. Durant la révolution, l’église est d’abord transformée en grenier à grains puis affectée au clergé assermenté, ce qui lui épargne sans doute de plus graves déprédations. En 1802, l’église est rendue au culte catholique et restaurée. En 1857, [l’architecte Benoît] achève le clocher sud ainsi que le fronton central en style néogothique.

En 1968, une pierre de voûte tombe ce qui, après expertise, nécessite une rénovation en profondeur de la structure de l’église. Les travaux se poursuivent pratiquement jusqu’en 2000. En 1996, l’Archevêque de Lyon confie l’animation de la  paroisse  Saint-Nizier  à  la communauté de l’Emmanuel.

Présentation générale :

Le plan de l’église est caractéristique du XIV° siècle et du gothique flamboyant :
2 niveaux d’élévation, avec un superbe triforium (voir plus bas), 3 nefs, un transept, une abside et absidioles, 9 chapelles latérales, de vastes baies une abside et 2 absidioles, qui accueillent la lumière et des voûtes gothiques surbaissées et finement décorées de liernes et de tiercerons. Ses dimensions sont à la fois  harmonieuses et impressionnantes pour une église paroissiale : longueur 74 m, largeur 28 m, hauteur 29 m.

A l’extérieur, on admire le génie de l’architecture gothique avec en particulier les arcboutants sur les façades latérales nord (rue de la Fromagerie) et sud. Le clocher nord, en pur style gothique, est surmonté d’une superbe flèche en briques roses. Les blocs de calcaire de sa partie basse proviennent en partie des récupérations de la ville romaine de Lugdunum sur la colline de Fourvière. La façade ouest (place Saint-Nizier) comporte en outre trois autres éléments originaux :

au centre, un superbe portail de styte renaissance,

à droite, le clocher sud en style néogothique du XIX°, surmonté d’une remarquable flèche en pierres ajourées,

au-dessus du portail central, un fronton néogothique.

À noter que Saint-Nizier est la seule église de Lyon ayant deux clochers. Parmi les nombreuses œuvres d’art que contient l’église, on ne mentionnera ici que le chef-d’oeuvre représentant, en style baroque, Notre-Dame de Grâce, réalisé en 1661 par [Antoine Coysevox], enfant de la paroisse qui deviendra par la suite l’un des principaux sculpteurs de Louis XIV.

Crypte et les premiers temps du christianisme

Saint Pothin sera le premier évêque de Lyon et le premier évêque de la Gaule. Pothin serait venu avec une image de la Vierge qu’il installera dans son oratoire, caché dans une crypte située à l’emplacement du chœur de la crypte actuelle. L’église Saint-Nizier sera alors le premier lieu de culte marial et chrétien de la Gaule.

En 177 se situe l’épisode des martyrs de Lyon. Nous disposons d’un document historique daté, il s’agit de la Lettre des chrétiens de Lyon écrite en grec et relatant le récit de la persécution des martyrs lyonnais. Cette lettre est tirée de l’Histoire ecclésiastique d’Eusèbe de Césarée (H. E. V, Prologue 1-4 ; chapitres 1-4).

Histoire de la crypte de Saint-Nizier

L’ancienneté de la crypte de Saint-Nizier est incontestable même si la datation historique de sa fondation est imprécise. La forme actuelle (1886) a effacé les traces primitives. Ce sont des documents du Xème- XIIème siècle, qui indiquent que St Pothin aurait eu là son premier oratoire.

Au cours des travaux de consolidation du XVIIème on y avait retrouvé les tombeaux des 10 évêques de Lyon enterrés là au VIème siècle, dont Sacerdos, Nizier (restes d’épitaphe sur le mur Nord, au fond, à côté de Notre-Dame de Grâce, Viventiole, Ennemond,…)

Selon la tradition, on conservait les cendres des Martyrs derrière l’autel de la crypte pour les vénérer, pendant tout le Moyen-âge.

Après les dégâts de la Révolution, au XIXème siècle, l’église Saint-Nizier est restaurée, consolidée, achevée (tour et flèche sud).

Dans ce vaste programme, la mise en valeur de la crypte est confiée à l’architecte BENOÎT, en accord avec le curé et les fabriciens de la paroisse. Il opte pour une extension de l’espace en utilisant les catacombes afin de retrouver le plan de fondation de l’édifice médiévale, si bien que la surface totale de la crypte corresponde à la nef principale de l’église.

 

Dans ce vaste programme, la mise en valeur de la crypte est confiée à l’architecte BENOÎT, en accord avec le curé et les fabriciens de la paroisse. Il opte pour une extension de l’espace en utilisant les catacombes afin de retrouver le plan de fondation de l’édifice médiévale, si bien que la surface totale de la crypte corresponde à la nef principale de l’église.

Le plan dessiné par BENOÎT de l’ancienne crypte qu’il a trouvé, montre une surface carrée d’environ deux mètres de côté, complétée par quatre absidioles semi-circulaires ayant le côté de ce carré pour diamètre.

De ce petit espace, il propose de faire une abside unique, en cul de four, dont le centre comprendrait un nouvel autel, sur l’exact emplacement de celui des Martyrs et exactement sous celui de la nef principale. Les deux autels restent en lien par un oculus, pour rappeler la tradition propre à la paroisse du lien avec les Martyrs à travers l’Eucharistie.

BENOÎT commande un décor en mosaïques, imitant les cryptes romaines des IV, V et VIème siècle pour rappeler l’ancienneté de l’implantation chrétienne à Lyon et aussi parce que ce moyen est revenu en vogue dans la seconde moitié du XIXe siècle.

C’est également BENOÎT qui propose une iconographie avec des mosaïques reprenant trois thèmes fondateurs pour l’histoire de l’église Saint Nizier. La réalisation sera effectuée par les mêmes artisans que ceux qui ont réalisé les mosaïques de Notre Dame de Fourvière.

Il ajoute les sept lampes dédiées à la mémoire des saints fondateurs du christianisme.

Les voûtes également sont sobrement décorées de palmes unies autour des armes du Christ en clé de voûte.

Les noms des artistes sont inscrits sur les murs : Gaspard Poncet (peintre pour l’abside et Mora l’artiste mosaïste pour l’abside, Claudius Barriot (peintre) et Fachina le mosaïste pour les murs latéraux.

1. LA DÉVOTION À MARIE

Marie, dans sa mandorle, est le personnage central de la crypte, et rappelle l’ancienneté du culte de la Vierge (déclarée Theotokos au concile d’Éphèse, 431). Cette ancienneté s’appuyant sur la tradition selon laquelle St Pothin serait arrivé à Lyon avec une effigie de la Vierge, conservée dans la crypte de Saint-Nizier, et très honorée des lyonnais.

La Vierge a sur les genoux son fils, au dessus la colombe représente l’Esprit et au dessus de la colombe, une main qui bénit représente le Père.

2. L’ORIGINE ORIENTALE DE L’ÉGLISE DE LYON

À gauche sur la photo, soit à la droite de la Vierge, St Jean et son aigle, seul animal à soutenir l’éclat du soleil, et une représentation de la ville d’Éphèse ainsi que l’indique un palmier, représentatif de la végétation orientale. Saint Jean est représenté imberbe avec un évangile à la main.

À droite de la photo, soit à la gauche de la Vierge, St Pothin, premier évêque de Lyon envoyé par St Polycarpe, disciple de St Jean. Il est représenté avec un lion soumis, symbole de l’athéisme vaincu par le sacrifice des martyrs et un chêne, typiquement gaulois suggérant que la ville représentée à droite est Lyon lieu du martyre.

Les phrases « ecce filius tuus » et « ecce mater tua » sur le bandeau, au bas de la mosaïque, font référence aux paroles du Christ s’adressant à sa mère et à Saint Jean.

3. LA MÉMOIRE DES MARTYRS DANS SAINT-NIZIER

S’appuyant sur la Lettre des chrétiens de Lyon à leurs frères d’Asie Mineure et les écrits de Grégoire de Tours, la représentation de chacun des martyrs, les hommes au sud, les femmes au Nord rappelle qu’en ce lieu fut honorée leur mémoire comme fondateurs du christianisme à Lyon. Leur 47 noms sont inscrits en latin, mais révèlent leurs différentes origines (grecque, romaine, celte), leur statut social (médecin, avocat, maitre, domestique, diacre) et aussi la manière dont ils sont morts. Celui qui porte une épée manifeste qu’il était romain et qu’il fut décapité (figure 2). Les autres, présentés en petits groupes, portent la palme du martyr.

Sur la figure 3 on remarque Saint Blandine au milieu à genoux et un agneau symbole de la victime du sacrifice qu’est le Christ. Le 48ème martyr, Saint Pothin est représenté au pied de la Vierge avec les poignets entravés par une chaine.

Légende des figures :

– Figure 1: carton peint représentant le projet qui deviendra la mosaïque de l’abside de la crypte.

– Figure 2: carton peint représentant le projet qui deviendra la mosaïque du côté droit dédié aux hommes martyrs de l’an 177.

– Figure 3. Carton peint représentant la mosaïque du côté gauche dédié aux femmes martyrs de l’an 177.

L’association

La première ambition de l’association est de promouvoir une meilleure connaissance du patrimoine religieux de l’église Saint Nizier, au travers de la longue et admirable histoire de l’édifice et de ses saints.

A ce titre, les principales activités de l’association sont les suivantes :
– Établir des relations avec les pouvoirs publics afin d’assurer la préservation du Patrimoine architectural, artistique et du patrimoine paroissial.
– Éditer et  diffuser une documentation détaillée sur les différents composantes de l’église.
– Organiser des manifestations culturelles diverses (conférences, visites…).

Nos réalisations  et participations

  • rénovation de la chapelle Sainte Marie Madeleine
  • restauration du tableau de Saint-Nizier
  • participation au Chemin de Croix
  • restauration des tableaux de Saint Matthieu et de Saint Irénée
  • nettoyage et entretien des marbres et boiseries des chapelles
  • organisation de concerts et de conférences
  • participation, chaque année, aux Journées du Patrimoine (JEP)
  • les visites guidées le deuxième samedi du mois et sur demande

Nos projets à court et long terme

  • mise en valeur de la tombe de Pauline Jaricot
  • participation à la rénovation des chapelles sud
  • étude et éclairage des tableaux et des statues
  • interversion des tableaux « la transfiguration » et » Saint-Nizier »
  • inventaire et mise en valeur des objets classés et du trésor
  • présentation au public de la statue de Nicolas Coustou « L’Éducation de la Vierge »
  • déplacement du crucifix au dessus du maître-autel
  • mise en place d’un accueil du pèlerin
  • réactualisation des cartels explicatifs
  • restauration du Grand Orgue « Merkling »
  • remise en route de l’horloge
  • restauration de la nef et des chapelles nord

Si vous êtes intéressés par nos projets
et pour participer aux différentes propositions pastorales de notre paroisse,

n’hésitez pas à nous rejoindre :

Notre adresse postale :                Les Amis de Saint Nizier –  1, rue Saint Nizier – 69002 LYON

E-mail :                                                amis@saintnizier.fr

Site internet :                                    www. saintnizier.fr

Tél. secrétariat :                               06 03 51 15 01

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