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Semaine Sainte 2023

Semaine Sainte 2023

 Mardi Saint – 4 avril
12h15 : Messe
17h – 19h : confessions (Père Dominique de Lafforest)
19h : Messe

Mercredi Saint – 5 avril
10h – 12h : confessions (Père Charles Rochas)
Pas de Messes à Saint-Nizier
18h30 : Messe à la Primatiale Saint-Jean (Bénédiction des huiles et renouvellement des promesses sacerdotales des prêtres du diocèse)

Jeudi Saint – 6 avril
7h30 : Office des ténèbres
10h – 12h : confessions (Père Charles Rochas)
16h – 17h30 : confessions (Père Charles Rochas + Père Luc-Emmanuel Dupont)
17h30 – 19h : confessions (Père Dominique de Lafforest)
19h : Messe de la Sainte Cène + Reposoir jusqu’à minuit.

Vendredi Saint – 7 avril
7h30 : Office des ténèbres
10h – 12h : confessions (Père Dominique de Lafforest)
12h15 – 13h30 : chemin de Croix dans les rues avec Mgr de Germay – Départ de Saint-Nizier
16h – 17h30 : confessions (Père Charles Rochas)
17h30 – 19h : confessions (Père Luc-Emmanuel Dupont)
19h : Office de la Passion

Samedi Saint – 8 avril
9h : Office des ténèbres (incluant les derniers rites pour les catéchumènes)
11h – 12h : confessions (Père Luc-Emmanuel Dupont)
14h30 – 16h30 : confessions (Père Luc-Emmanuel Dupont)
16h30 – 18h30 : confessions (Père Charles Rochas)
18h30 – 20h30 : confessions (Père Dominique de Lafforest)
21h : Vigile Pascale

Dimanche de Pâques – 9 avril
10h30 : Messe de la Résurrection

Goûter de l’âge d’or – samedi 1er avril 2023

Goûter de l’âge d’or – samedi 1er avril 2023

Rendez-vous le samedi 1er avril à 15h pour le goûter de l’âge d’or à Saint-Nizier !

A nos aînés de la paroisse,

aux bons soins de leurs voisins, de leurs parents, de leurs amis et de la Providence

Un petit goûter de 15 à 17 h, le samedi 7 janvier, aura lieu pour eux.

Ils y sont invités grâce à vous.

On y fêtera l’assurance de ne pas être seuls et suggérer quelques idées de projets de rentrée.

Cette réunion amicale les assurera aussi de notre présence fidèle
et de notre proximité.

C’est par vous, jeunes, virtuoses de l’internet
que ce message doit passer à nos aînés
qui ne connaissent et n’utilisent que le téléphone
ou votre sourire amical.

Si vous avez dans votre entourage paroissial une personne âgée,
portez-lui le message, invitez-là au nom de la paroisse.

Le lieu est connu: Salle Ozanam
« Les vieux pommiers donnent encore de beaux fruits dans la vieillesse » !
Venez adorons-le !

Venez adorons-le !

Venez, adorons le !

Ce weekend nous vous proposons, que vous suiviez ou non le parcours de carême – tout le monde est invité ! –  une adoration du Saint Sacrement.
L’adoration se fera dans la chapelle de Pauline 38 heures en continu avec autant de tranches horaires, jour et nuit entre le vendredi 24 mars à 20 h, et le dimanche 26 mars 10 h. L’adoration est possible toute l’année, mais souvent interrompue. Notre enjeu pendant ces 38 heures est de ne pas laisser Jésus seul et de nous préparer à Pâques en l’adorant.

Pourquoi s’inscrire ?

Pour être sûrs que nous couvrons bien toute la durée proposée et que nous ne soyons ni absents ni trop nombreux… Vous pouvez vous inscrire seul(e) ou avec un groupe (à faire par le responsable). Si vous vous inscrivez pour un horaire de nuit, nous vous communiquerons ensuite un code qui vous permettra d’accéder à la chapelle (le code de jour est le 54321).

Pourquoi une heure ?

La pratique de l’Heure Sainte a été enseignée à Sainte Marguerite Marie, au XVIIème siècle, à Paray le Monial, par Jésus Lui même L’accompagner dans sa prière au Mont des Oliviers alors que les apôtres dormaient: « Ainsi, vous n’avez pas eu la force de veiller seulement une heure avec moi ? » (Mt 26, 40)

Nous comptons sur vous, vous ne serez pas déçus, le Seigneur vous attend ! 

Chemin de Croix 2023

Chemin de Croix 2023

Chemin de Croix – vendredi saint 7 avril 2023

 

Vendredi saint 7 avril, un chemin de croix dans les rue de Lyon présidé par Mgr Olivier de Germay, archevêque de Lyon, partira à 12h15 de l’église Saint-Nizier, Lyon 2e.


Le chemin de croix qui accompagne Jésus vers sa mort est une contemplation active qui veut aider chacun à entrer dans le mystère de l’amour de Dieu, manifesté en son Fils.

D’autre part, dans l’intercession pour le monde tel que Jésus l’a vécu en s’offrant sur la croix, une telle démarche ne peut se faire que dans la perspective de sa Résurrection à Pâques.

Le chemin de croix apparaît donc comme un pèlerinage « en esprit », c’est pourquoi il touche celui qui l’entreprend sous trois aspects, tant physiques que spirituels : la marche, la méditation et l’intercession.

Triduum Pascal pour les 25/35 ans

Triduum Pascal pour les 25/35 ans

Triduum Pascal 25/35 ans

Tu as entre 25 et 35 ans et tu souhaites vivre le Triduum à Saint-Nizier ?!?
Bienvenue, tu es au bon endroit  !

Cette année nous te proposons de vivre d’une manière intense ce Triduum !

Au programme :

– Jeudi soir : office de la Cène suivi d’un apéro dînatoire et d’un temps d’adoration au reposoir
– Vendredi : office des ténèbres le matin, chemin de croix, possibilité de jeûner ensemble le midi, office de la croix suivi d’une soirée film « la passion du Christ »
– Samedi : office des ténèbres puis journée désert vécu ensemble.
-Vigile pascale suivi d’une soirée pour fêter la résurrection !!!!
– Dimanche : Messe de Pâques et déjeuner pascal !!

Inscriptions :

Pour se faire nous avons besoins de ton inscription avant le 3 avril et de ton engagement à venir dans la mesure du possible du jeudi soir au dimanche midi !

Nous t’encourageons vivement à poser ton vendredi afin de vivre pleinement le temps de la Passion pour entrer dans le mystère Pascale.
Une participation financière (environ 30/40 euros environ) te sera demandée pour valider ton inscription.

Dans la joie de vivre ce beau moment d’Église ensemble !


Fraternellement,
la Team Tridium 2023

 

Le lien d’inscription :  ICI
L’adresse mail : tridium2023@gmail.com

Horaires des messes

En savoir plus
Monseigneur Loïc Lagadec, nommé évêque auxiliaire de Lyon

Monseigneur Loïc Lagadec, nommé évêque auxiliaire de Lyon

Mgr Loïc Lagadec, nommé évêque auxiliaire de Lyon

Le pape François a nommé ce jeudi 9 mars, Monseigneur Loïc Lagadec évêque auxiliaire de Lyon, en lui assignant le siège épiscopal de Carpentras. Il était jusqu’à présent vicaire général du diocèse de Grenoble-Vienne. La messe d’ordination aura lieu le dimanche 30 avril à 15h30 à la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, à Lyon. Vous pouvez retrouver sa biographie ici.

Retrouvez ci-dessous l’interview de Mgr Loïc Lagadec

Ce viennois d’origine connaît déjà bien Lyon et notre diocèse, où il a effectué une partie de ses études.

Quelles sont vos origines et quel souvenir gardez-vous de votre enfance au niveau de la foi ?

J’aime à dire que je suis un breton de Lyon, même si je n’ai jamais habité en Bretagne ! Mon grand-père Lagadec était dans la marine de guerre : il s’est installé en région lyonnaise après la guerre d’Indochine. Côté maternel, ma famille est originaire de Corrèze et de Paris mais mes grands-parents vivaient à Sainte-Foy-Lès-Lyon ou j’ai d’ailleurs été baptisé. J’ai passé une bonne partie de ma jeunesse à Vienne, dans une famille aimante, avec mes deux sœurs. Je me souviens de ma joie lorsque je me rendais à la messe en mobylette pour rejoindre mes amis scouts. Dans ma paroisse à Vienne, il y avait une ferveur qui a été fondatrice.

Vous devenez lyonnais le temps de vos études en prépa économie aux Chartreux…

Oui, de 1992 à 1994 exactement. J’avais envie de recevoir une solide formation initiale, où l’on apprenne à réfléchir et où l’on acquiert une bonne culture générale, dans l’espérance d’intégrer une bonne école de management ensuite.

Etudiant, quel chrétien êtes-vous alors ?

A fond dans la foi ! Je travaillais beaucoup, mais je participais aussi un groupe de prières chaque mardi soir avec le Chemin neuf, j’allais à la messe en semaine à Saint-Nizier, j’étais toujours chef scout à Vienne… C’est à l’occasion d’une année d’études en Allemagne, près de Berlin et loin de mon entourage familial et amical, que j’ai pu prendre le recul qui m’a permis de réfléchir à ce que je voulais réellement faire de ma vie. C’est donc en Allemagne que j’ai décidé de rentrer au séminaire.

Quel est votre état d’esprit en entrant au séminaire ?

Je suis sûr d’une chose : je n’y vais pas pour voir !  Ma vie a réellement basculé, passant d’un étudiant chrétien fervent à un homme saisi par l’Amour du Christ, qui découvre que l’Evangile est plus grand que ce qu’il pensait, et qui veut passer l’essentiel de sa vie à partager cette Bonne nouvelle. J’ai ensuite choisi d’être prêtre diocésain, car à Vienne, j’avais été porté par une belle communauté paroissiale. J’avais conscience que ce n’était pas le cas partout, et j’avais le désir de passer ma vie à contribuer à ce que les communautés locales soient vivantes et qu’on y découvre Dieu.

D’un mot, les années de formation au séminaire ?

A Vienne, je faisais partie à l’époque de la zone interdiocésaine. Comme séminariste, j’aurais pu choisir parmi le diocèse de Grenoble, Saint-Etienne ou Lyon. Je connaissais mieux Lyon que Grenoble d’ailleurs, mais j’ai voulu asseoir mon choix sur un élément objectif : j’avais grandi à Vienne, en Isère, alors je serai prêtre dans le diocèse de Grenoble-Vienne. J’en faisais une question de loyauté. J’ai vécu toutes mes années au séminaire dans la joie et avec facilité, heureux de creuser ma foi.

Jeune prêtre, qu’est-ce qui vous motive le plus ?

C’est à Bourgoin-Jailleu, envoyé comme vicaire que j’ai appris à être prêtre. Je m’occupais plus particulièrement des jeunes scouts, de l’aumônerie, et des établissements catholiques de la paroisse. Là-bas, la foi s’exprimait avec joie. Je garde souvenir d’une célébration de Pentecôte mémorable, où l’on a vraiment senti le vent de l’Esprit souffler. Nous nous en parlons encore quand on se retrouve. Tout jeune prêtre j’ai rencontré des personnes porteuses de handicap avec Foi et Lumière. Un chant résonne : « Laisse-toi aimer par Jésus mon ami… » J’ai appris en ce lieu à me laisser aimer tel que j’étais, sans fard.

Vous êtes ensuite appelé à la pastorale des jeunes de votre diocèse…

Isèreanybody ? en un mot, c’est le réseau des jeunes catholiques d’Isère que nous avons créé avec comme point d’ancrage la basilique Saint-Joseph. Dans cette paroisse qui leur était confiée, les jeunes avaient carte blanche, ils étaient invités à inventer l’Eglise dont ils avaient besoin pour être les missionnaires de leur génération.

Saint Joseph est devenue une communauté où l’on peut grandir dans sa foi, apprendre à s’engager dans l’Eglise, se former et aussi une communauté ou l’où peut inviter ses amis venant de tous les horizons. A titre d’exemple, le café chrétien a été pensé comme un véritable « parvis des gentils » ainsi que l’avait demandé le pape Benoît XVI permettant de multiples liens avec la vie étudiante des campus grenoblois.

… avant d’être nommé vicaire général !

Je suis passé de la mission la plus joyeuse et la plus fraternelle dont on pourrait rêver à une mission d’une tout autre nature. Il m’a fallu faire le deuil de la vie paroissiale, et cela a été long pour moi. Mais de nature très joyeuse, je me suis alors dit : « Tu ne peux plus être curé, alors tu vas te faire serviteur de la réussite pastorale de tes confrères prêtres ». J’ai pu mesurer au bout de quelques mois qu’il était possible d’agir à cette place-là en préparant les nominations, en accompagnant les jeunes ordonnés… Pendant cette période, j’ai appris à aimer les prêtres, j’ai appris aussi à travailler avec joie et confiance avec les laïcs. (NDLR : le diocèse de Grenoble-Vienne compte environ 90 prêtres en mission, une cinquantaine à la retraite et une soixantaine de laïcs salariés).

Aujourd’hui, vous êtes nommé évêque. Comment accueillez-vous cette nouvelle ?

J’ai à nouveau dit oui au Christ. Ce oui s’inscrit dans la suite des oui déjà donnés. Oui à l’Evangile ; oui à mon désir de servir l’Evangile et l’Eglise. J’accueille cette nouvelle avec tremblements mais je fais confiance à ceux qui m’appellent. Je l’accueille aussi avec la joie d’un missionnaire qui part, qui quitte quelque chose et qui va avec joie pour travailler à la vigne du Seigneur d’une autre manière.

Un mot pour les Grenoblois que vous quittez ?

J’avais peur de leur dire adieu mais je leur dis au revoir car je ne pars pas très loin !

J’ai surtout envie de leur dire MERCI.

J’ai été enfanté dans ma foi en Isère. J’ai appris à être prêtre auprès d’eux, j’ai servi passionnément, j’ai aimé les gens que j’ai rencontré. J’éprouve une profonde gratitude pour tout ce que j’ai reçu et vécu avec eux.

Que voulez-vous dire aux lyonnais et roannais ?

J’arrive à Lyon avec le désir de poursuivre ma vie au service de l’Amour et de la foi. Apprenez-moi à être l’évêque auxiliaire dont l’Eglise a besoin !